Le sang

 

 

Les Caractéristiques


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Pourquoi un tel patient dont je suis complètement normalisé revient avec la même blessure? Pourquoi celui-ci souffre encore alors qu'il est parfaitement standardisé?

L'un des paramètres a le pouvoir. Still et Littlejohn ont déjà préconisé de bien manger. Elle est allée encore plus loin en soutenant que les déséquilibres nutritionnels étaient une lésion ostéopathique.

Bien entendu, ce n'est pas la seule réponse thérapeutique car il est important de prendre en compte d'autres facteurs tels que la génétique psychosomatique de type émotionnel, occlusal et morphologique du patient, HLA. Un ajout que des paramètres que nous ne connaissons pas et nous avons fait le tour de la question.

Ainsi, d'un point de vue thérapeutique, nous pouvons essayer de mieux cibler nos traitements pour apporter des soins adaptés à un groupe sanguin et de les compléter par une thérapie nutritionnelle pour optimiser nos résultats.

Le lecteur peut trouver ce concept un peu farfelu et se poser la question:

Pourquoi un rééquilibrage alimentaire vis-à-vis du sang?

La réponse est simple:

Chacun de nous porte la marque A, B, O ou AB sur nos globules rouges ou érythrocytes.

Si Pierre, Groupe A ne tolère pas le sang transfusé de Bertrand, Groupe B, c'est parce que son sang contient naturellement de véritables missiles anti-B, imaginés par son système immunitaire qui attaquent les globules rouges de Bertrand étiquetés B.

Résultat, les deux caillots sanguins se mélangent et la formation de dangereux caillots sanguins dans les vaisseaux. C'est la même chose avec l'alimentation et certains nutriments incompatibles avec le groupe sanguin.

Mais aussi parce que l'agriculteur qui cultive une plante dans un champ ne met pas le même engrais selon la composition du sol, le sol. L'apport d'engrais est différent si le sol est argileux, schisteux ou calcaire...

L'ostéopathe pour une approche holistique, dans la lignée de l'alambic et du Littlejohn, doit équilibrer la nutrition avec le complexe acido-basique, et combler les lacunes qui sont finalement les plus responsables de l'homéostasie de l'organisme, car c'est la terre, qui compte!

Pour la petite histoire, Pasteur aurait dit sur son lit de mort: "C'est Claude Bernard qui avait raison, le germe et le virus ne sont rien, juste la Terre compte!" C'est ainsi qu'on prend soin de la terre par la nutrition et la nutrition thérapie.
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Hippocrate, le père de la médecine, préconisait ici les XXV siècles de comprendre l'origine des maladies jusqu'à la première étude de l'environnement du patient. Lorsqu'il parlait d'environnement, l'environnement climatique, géographique, physique, était pris en compte, et il insistait pour étudier attentivement le comportement de l'individu dans sa façon de manger et de boire. Le père de la médecine s'intéressait au pays de son patient.

Bien plus tard en 1900, c'est en Autriche et surtout à Vienne que le Dr. Karl Landsteiner a découvert les premiers groupes sanguins O, A, B, AB. Il achèvera sa découverte avec Rh positif et négatif aux USA avec un de ses élèves Philip Levine. Cette découverte a révolutionné le monde de la médecine car elle fournit une explication de la Terre de l'Homme.

En 1952, les travaux d'un biologiste français Jean Dausset donnent au monde médical l'explication d'un autre groupe sanguin incompatible:

Le système HLA est également une autre forme de PLOT. Alors qu'il s'occupe d'une hémorragie à l'accouchement, et de son sang pour éviter une mort certaine, il trouve la patiente un rejet. Toujours donneur et receveur du même sang, et pourtant un accident d'incompatibilité se produit. Dausset propose alors qu'il existe des facteurs sur les globules blancs capables de nous distinguer. Découverte du système HLA. Pour plus d'informations, sachez qu'il compte à lui seul plus de 600 millions de combinaisons.

Curieusement, ce n'est que trente ans plus tard, en 1982, que le Dr. Peter Adamo, médecin américain, à la suite de ses recherches, extrapole sur l'incompatibilité du sang et de la nourriture, en tenant compte du sol.

Il a souligné que certains types d'aliments sont A, tandis que d'autres sont B, O ou AB, et restent ainsi ensemble en présence d'un sang incompatible. La digestion s'effectue, mais pas parfaitement, et l'individu s'enivre en mangeant des aliments qui ne lui conviennent pas.

En réalité ce n'est pas enivrant, mais sale, alors on peut parler de pathologies de pollution, associées à un pouvoir incompatible avec le sol de l'individu.

La comparaison peut être faite avec une voiture neuve, avec laquelle on fait le plein d'un mauvais carburant. La voiture roulera sur de nombreux kilomètres sans aucun problème, mais les différents filtres se boucheront progressivement, et la voiture peut se casser si le propriétaire du véhicule doit alimenter le carburant de mauvaise qualité.

Le corps humain est le même, si vous vous nourrissez de mauvaise nourriture... c'est dysfonctionnel, et parfois grave.

Dans l'approche thérapeutique au-delà du Dr. Peter Adamo HLA car les combinaisons trop et se limite aux globules rouges du sang pour affiner thérapeutiquement sachant que ce n'est pas complet, mais plus précis qu'avant.

En ostéopathie, nous traitons de nombreux patients avec fermeté avec des résultats positifs, et des échecs, comme tous les praticiens.

Beaucoup d'entre nous sont encore à la recherche du résultat optimal.


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